Les vœux de la CGT Fonction publique : En ces temps d’épidémie, ...
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...l’UGFF-CGT présente ses meilleurs vœux de rétablissement au président de la République, victime d’une nouvelle attaque de Sarko-Blairite aigüe
Voeux aux français le 31 décembre 2013 :
« … le Gouvernement a engagé des réformes, pour rétablir nos comptes publics, améliorer la compétitivité des entreprises, moderniser le marché du travail, consolider nos retraites,…Les impôts sont devenus lourds, trop lourds, à force de s’accumuler depuis de nombreuses années…C’est pourquoi je propose un pacte de responsabilité aux entreprises : moins de charges sur le travail, moins de contraintes sur leurs activités …D’abord, je veux réduire la dépense publique. Nous devons faire des économies partout où elles sont possibles. Et j’ai la certitude que nous pouvons faire mieux en dépensant moins…Cela vaut pour l’Etat, qui doit se concentrer sur ses missions essentielles, mais aussi pour les collectivités locales, … ; et pour la sécurité sociale, …, qui doit en terminer avec les excès - nous les connaissons - et les abus. …Nous devons dépenser moins pour réduire notre déficit mais aussi pour pouvoir, à terme, baisser les impôts. C’est là le sens de la réforme fiscale que nous avons engagée. J’assumerai, moi-même, la responsabilité et le suivi de ce programme d’économies durant tout le quinquennat. »
Ceci est l’avant-dernier accès de sarko-blairite du président.
Vœux aux corps constitués au Conseil d’Etat le 7 janvier 2014
« … c’est le paradoxe que nous connaissons bien dans notre pays, l’Etat lui-même est jugé trop lourd, trop lent, trop cher. Il est vrai que son organisation apparaît de plus en plus mystérieuse … Réformer l’État, c’est le rendre plus efficace. Pour être efficace, l’Etat doit dépenser moins… Ce n’est donc plus par les impôts que nous pouvons réduire nos déficits mais par des économies. Nous en ferons partout où c’est possible. Le Premier ministre a lancé 60 évaluations de politiques publiques. 50 milliards d’économies d’ici 2017 doivent être dégagés. Chacun devra y prendre sa part : l’Etat, les opérateurs, les organismes sociaux, les collectivités locales. … Réformer l’État, c’est le mettre en mouvement… Réformer l’Etat, c’est le simplifier. »
Ceci est le dernier accès en date de la sarko-blairite aigüe dont est affecté François Hollande, président de la République.
Soigner la sarko-blairite c’est compliqué et c’est difficile. D’autant plus que c’est une maladie dont les victimes ne sont pas ceux qui en sont atteints, mais toutes les autres composantes de la société, qu’elle fait particulièrement souffrir.
Elle ne se soigne que si ceux qui y ont intérêt savent se rassembler pour contraindre ceux qui en sont affectés à l’abandonner.