Jacqueline de Romilly : « Continuons le combat pour le latin et le grec ! ».
mardi 15 mars 2005
(...) Seulement, si la bonne volonté officielle n’est pas douteuse, toute initiative demeure suspendue aux décisions individuelles d’un recteur, d’un inspecteur d’académie, d’un proviseur et, hélas, obéit à un souci d’économie. Pourtant, cet enjeu est si important qu’on ne devrait pas s’arrêter à des questions modestes de comptabilité, alors que de l’argent est dépensé pour des choses bien plus futiles et qu’une aide à l’étude des langues anciennes représenterait un effort peu coûteux. (...)
Le Figaro du 18/09/04
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